Menu

Approche Emotivo-Rationnelle de courant Réaliste

Comment ça marche?

Il est habituel et tout à fait naturel de penser que ce sont les événements qui déclenchent nos émotions.

Par exemple :

Mon enfant ne m’obéit pas. Donc, à cause de lui qui ne m’obéit pas, je suis en colère!

Ou encore :

Mon mari a oublié notre anniversaire de mariage. Donc, à cause de mon mari qui a oublié notre anniversaire de mariage, je suis triste!

Cette façon de penser est bien compréhensible!

Pourtant, vous avez déjà pu constater qu’à la suite du même événement les émotions vécues par les uns ou les autres n’étaient pas toujours les mêmes. Nous n’avons pas tous la même façon de réagir à des événements pourtant similaires.

Comment cela est-il possible?

Le philosophe antique Epictète (1er siècle après JC) et par la suite des psychologues comme l’américain Albert Ellis (1913-2007), les québécois Lucien Auger (1933-2001) et Pierre Bovo l’expliquent très simplement. Le fait est, qu’entre l’événement et l’émotion, se trouve un filtre!

C’est ce filtre qui déclenche l’émotion. Elle appartient à tout être humain. Ce filtre est: Ce que nous pensons de l’événement et comment nous l'évaluons. Ce qui est fabuleux, c'est que chacun a un pouvoir dessus. 

Or, de fait, sans nous en rendre compte, nos pensées sont bien souvent peu réalistes.

C’est en rendant notre regard plus réaliste sur l’événement que nous rencontrons, que nous pourrons vivre des émotions plus sereines! Ainsi, nous pourrons moduler et gérer nos émotions. Notre émotion étant adaptée, nous aurons une réaction elle aussi adaptée à la situation.

Impossible? Non!

Difficile? Parfois, mais en étant bien accompagné, apprendre à gérer ses émotions, c’est possible!

Les secteurs d’intervention sont très nombreux, et les outils de la pensée Emotivo-Rationnelle sont des atouts inestimables pour vous permettre d’agir efficacement dans des situations variées.


Apprenez à cultiver votre sérénité !

Et rappelez-vous ce que disait déjà Epictète :

«Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu’ils portent sur les choses.»

Bernard@TaER.ch